Bonjour les radieux et les radieuses!
Dernier communiqué pour aujourd'hui! Dénonçons l'industrie du tabac. Personnellement j'ai été touché et choqué par la publicité avec Réal Bossé sur l'industrie du Tabac. J'avais envie de fessé Réal Bossé tellement que j'ai cru à son jeu (Méchant bon acteur, dans 19-2, bien que j'adore Claude Legault, il me tenait d'avantage en haleine!)! Personnellement, j'aimerais vraiment que ma fille ne fume jamais une cigarette... J'ai failli perdre ma mère l'an dernier en partie à cause de son tabagisme d'un infarctus, donc, le tabac ça rentre pas chez nous! Je vous montre la publicité...
Avouez que soudainement, même si on aime Réal Bossé, on a envie de jouer au dard avec sa face!
Aujourd’hui, pour la Journée porte tes convictions, le RSEQ (Réseau du sport étudiant du Québec) par le biais de son projet de lutte au tabagisme De Facto, la vérité sans filtre, encourage les jeunes à travers le Québec à dénoncer l’industrie du tabac et à porter leurs convictions en s’affichant avec le logo De Facto. Ce sont près de 80 000 jeunes étudiants-athlètes du RSEQ qui s’uniront pour la cause à travers le Québec. Depuis ses débuts, plus de 400 000 t-shirts à l’effigie du logo De Facto ont été remis aux étudiants-athlètes du RSEQ afin qu’ils agissent à titre de porte-étendards de la cause et s’affirment massivement face à l’industrie du tabac.
De Facto donne une voix aux jeunes qui sont déjà indignés par l’industrie du tabac. Selon un sondage* exclusif Léger-De Facto réalisé auprès des jeunes Québécois en octobre dernier, 75 % des jeunes Québécois sont d’avis que l’industrie du tabac profite de leur sentiment d’invincibilité et de leur naïveté pour les attirer et les rendre dépendants à leurs produits et 70 % des jeunes pensent qu’elle manipule les consommateurs de produits du tabac.
Réal Bossé, le porte-parole de la campagne, invite également la population à se rendre sur la page Facebook de De Facto aujourd’hui pour participer au concours de « selfie » et y publier un égoportrait accompagné du logo De Facto pour affirmer haut et fort leur position contre les compagnies de tabac.
« L’industrie du tabac nous a habitués à ses écrans de fumée. Bien camouflée derrière ce voile sombre, elle mise sur de grandes stratégies marketing afin de recruter de nouveaux adeptes, s’indigne Réal Bossé. Cigarettes électroniques dont on ne connait pas les effets réels sur la santé, produits du tabac aux saveurs de fraise et de menthe, emballages attrayants : peu surprenant que 90 jeunes s’initient chaque jour à la cigarette au Québec et que l’âge moyen d’initiation soit de 13 ans. »
Les jeunes demandent aussi au gouvernement de légiférer les stratégies marketing que les compagnies de tabac utilisent pour les recruter. Le sondage Léger-De Facto démontre que deux tiers des jeunes Québécois croient que le gouvernement du Québec devrait :
- interdire l’ajout de saveur dans le tabac,
- imposer aux compagnies de tabac un emballage neutre de leurs produits et,
- légiférer la vente des cigarettes électronique ou le développement de nouveaux produits.
Lancée à la télévision, sur le Web et dans les établissements scolaires de toute la province au début du mois, la campagne De Facto est aussi en cours et met en lumière les stratégies marketing que l’industrie du tabac utilise pour arriver à ses fins et recruter les jeunes.
À propos de De Facto
De Facto est un projet de lutte contre le tabac qui révèle de façon percutante la vérité sur l’industrie du tabac et ses produits en faisant du contre-marketing et de la dénormalisation. Orchestré par le RSEQ, De Facto mobilise et sensibilise les jeunes partout au Québec en révélant la vérité sur l’industrie du tabac. www.defacto.ca
À propos du RSEQ
Le RSEQ assure la promotion et le développement du sport et de l’activité physique en milieu étudiant, de l’initiation jusqu’au sport de haut niveau. Il favorise ainsi l’éducation, la réussite scolaire et la santé des jeunes. www.rseq.ca
*Méthodologie du sondage Léger-De Facto
Le sondage a été réalisé en ligne du 3 au 8 octobre 2014 par Léger auprès de 1009 jeunes Québécois âgés de 12 à 24 ans. La marge d’erreur maximale est de 3,1 % dans un intervalle de confiance de 95 % (19 fois sur 20).
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