Bonjour à tous, comme vous en avez peut-être déjà entendu des échos, je suis #ProUberQc et ça depuis le début du débat sur le sujet, tellement que j’en suis même devenu un chauffeur occasionnel.
J’adore l’idée de faire des ¨lifts¨ à mes voisins quand j’ai une auto à ma disposition, que j’ai un permis de conduire en bonne édu-forme, une auto et du temps à tuer, pour moi, ça donne du sens. Au moment que j'écris ses lignes Uber est la meilleure plateforme pour le faire au Québec (testé et approuvé).
Dernièrement le débat a pris une tournure exponentielle quand le nouveau projet de loi pour encadrer l’industrie du taxi (ce qui rend Uber ¨illégal¨) et qu’en même temps une entente avec le ministère des transports a été prises pour encadrer les pratiques de Uber (ce qui le rend donc légal).
Les médias en ont raffolé de cette histoire, en tant que chauffeurs Uber occasionnel et étant à l'aise avec les médias j’ai donc été invité à parler de l’enjeux sur les ondes de CBC et Radio Canada.
Donc voilà mon avis sur la nouvelle législation entourant Uber au Québec, maintenant qu’un permis de classe 4c est nécessaire pour pratiquer, cela à vraiment tuer l’âme de ce qu’est Uber ou les services de covoiturage ¨actif¨ ou urbain comme les médias aimes les appeler. En avant n’importe qui qui avais un permis de conduire, un véhicule 4 places, de moins de 10 ans et en ordre, possédant un permis de conduire pouvais faire du Uber maintenant s’en est une profession et avec les nouvelles exigences du gouvernement de le traiter comme-ci pour que ce soit rentable il faut en faire à temps plein.
Je trouve déplorable que notre gouvernement traite un service d’économie du partage comme une profession à temps plein car pour 90% des utilisateurs d'Uber (en tant que chauffeur) ce n’en est pas une.
Autre point que je trouve déplorable, c’est l’agissement des chauffeurs de taxi, ils sont responsables de leur situation et Uber n’est aucunement à blâmer pour leur calvaire.
Selon moi, il y a de la place pour plusieurs options de transports alternative, la seule manière que l'industrie du taxi va regagner la population c'est en offrant un service de qualité digne du prix qu'ils font payer à leur clients
L'industrie du taxi devrait être reconnaissante de Uber qui met la lumière sur leur système qui ne fonctionne pas dans l'ère dans laquelle nous sommes. Aucun chauffeur Uber (à ma connaissance n'as peur des actions des chauffeurs de taxi, ils parlent beaucoup agissent peut, de toute façon à chaque fois qu'ils font quelque chose ils se nuisent à eux même)
Ce qui est triste c’est que c’est le publique qui en souffre.
Donc en résumé, je crois que l’économie du partage c’est le future, Uber c’est bien, l’industrie du taxi cible les mauvaises entités et que même le gouvernement du Québec ne comprend pas encore comment fonctionne ce genre de plateforme. Le mieux est surement à venir en attendant nous croisons les doigts.
J’adore l’idée de faire des ¨lifts¨ à mes voisins quand j’ai une auto à ma disposition, que j’ai un permis de conduire en bonne édu-forme, une auto et du temps à tuer, pour moi, ça donne du sens. Au moment que j'écris ses lignes Uber est la meilleure plateforme pour le faire au Québec (testé et approuvé).
Dernièrement le débat a pris une tournure exponentielle quand le nouveau projet de loi pour encadrer l’industrie du taxi (ce qui rend Uber ¨illégal¨) et qu’en même temps une entente avec le ministère des transports a été prises pour encadrer les pratiques de Uber (ce qui le rend donc légal).
Les médias en ont raffolé de cette histoire, en tant que chauffeurs Uber occasionnel et étant à l'aise avec les médias j’ai donc été invité à parler de l’enjeux sur les ondes de CBC et Radio Canada.
Crédit photo: CBC NEWS |
Donc voilà mon avis sur la nouvelle législation entourant Uber au Québec, maintenant qu’un permis de classe 4c est nécessaire pour pratiquer, cela à vraiment tuer l’âme de ce qu’est Uber ou les services de covoiturage ¨actif¨ ou urbain comme les médias aimes les appeler. En avant n’importe qui qui avais un permis de conduire, un véhicule 4 places, de moins de 10 ans et en ordre, possédant un permis de conduire pouvais faire du Uber maintenant s’en est une profession et avec les nouvelles exigences du gouvernement de le traiter comme-ci pour que ce soit rentable il faut en faire à temps plein.
Je trouve déplorable que notre gouvernement traite un service d’économie du partage comme une profession à temps plein car pour 90% des utilisateurs d'Uber (en tant que chauffeur) ce n’en est pas une.
Autre point que je trouve déplorable, c’est l’agissement des chauffeurs de taxi, ils sont responsables de leur situation et Uber n’est aucunement à blâmer pour leur calvaire.
Selon moi, il y a de la place pour plusieurs options de transports alternative, la seule manière que l'industrie du taxi va regagner la population c'est en offrant un service de qualité digne du prix qu'ils font payer à leur clients
L'industrie du taxi devrait être reconnaissante de Uber qui met la lumière sur leur système qui ne fonctionne pas dans l'ère dans laquelle nous sommes. Aucun chauffeur Uber (à ma connaissance n'as peur des actions des chauffeurs de taxi, ils parlent beaucoup agissent peut, de toute façon à chaque fois qu'ils font quelque chose ils se nuisent à eux même)
Ce qui est triste c’est que c’est le publique qui en souffre.
Donc en résumé, je crois que l’économie du partage c’est le future, Uber c’est bien, l’industrie du taxi cible les mauvaises entités et que même le gouvernement du Québec ne comprend pas encore comment fonctionne ce genre de plateforme. Le mieux est surement à venir en attendant nous croisons les doigts.
Simon Rivest