Bonjour les radieux et les radieuses!
Aujourd'hui en ce jour du souvenir, j'aimerais souligner un de mes ancêtres de mon côté Maternel, Le Lieutenant Colonel John Mc Crae! C'est à lui qu'on doit le fameux coquelicot en ce jour du Souvenir! Le lien filiale entre John Mc Crae et moi, si je me souviens bien il s'agirait de mon arrière grand oncle ou arrière arrière grand oncle! Faudrait que je vérifie dans mon arbre généalogique, mais l'important c'est de faire connaître à ma fille ses célèbre ancêtre tout comme Léger Brousseau, fondateur du journal Le Soleil! C'est le fun de savoir que nos aïeux ont changé un peu la face du monde!
Aujourd'hui en ce jour du souvenir, j'aimerais souligner un de mes ancêtres de mon côté Maternel, Le Lieutenant Colonel John Mc Crae! C'est à lui qu'on doit le fameux coquelicot en ce jour du Souvenir! Le lien filiale entre John Mc Crae et moi, si je me souviens bien il s'agirait de mon arrière grand oncle ou arrière arrière grand oncle! Faudrait que je vérifie dans mon arbre généalogique, mais l'important c'est de faire connaître à ma fille ses célèbre ancêtre tout comme Léger Brousseau, fondateur du journal Le Soleil! C'est le fun de savoir que nos aïeux ont changé un peu la face du monde!
Je vous présente le fameux poème qui se trouve sur les billets de 10$ canadien et dans le vestiaire du Canadien de Montréal! Le poème de John Mc Crae a été écrit en anglais à l'origine, of course. Le fameux poème a été écrit en 1915! Durant la Première Guerre Mondiale!
Au Champ d'honneur*
(Adaptation du poème: In Flanders Fields,
de John McCrae, traduction par Jean Parizeau)
de John McCrae, traduction par Jean Parizeau)
Au champ d'honneur, les coquelicots
Sont parsemés de lot en lot
Auprès des croix; et dans l'espace
Les alouettes devenues lasses
Mêlent leurs chants au sifflement
Des obusiers.
Nous sommes morts
Nous qui songions la veille encor'
À nos parents, à nos amis,
C'est nous qui reposons ici
Au champ d'honneur.
À vous jeunes désabusés
À vous de porter l'oriflamme
Et de garder au fond de l'âme
Le goût de vivre en liberté.
Acceptez le défi, sinon
Les coquelicots se faneront
Au champ d'honneur.
Sont parsemés de lot en lot
Auprès des croix; et dans l'espace
Les alouettes devenues lasses
Mêlent leurs chants au sifflement
Des obusiers.
Nous sommes morts
Nous qui songions la veille encor'
À nos parents, à nos amis,
C'est nous qui reposons ici
Au champ d'honneur.
À vous jeunes désabusés
À vous de porter l'oriflamme
Et de garder au fond de l'âme
Le goût de vivre en liberté.
Acceptez le défi, sinon
Les coquelicots se faneront
Au champ d'honneur.